Saya Kurojiba ~¤ Mage de Rang B ¤~
Messages : 8 Date d'inscription : 13/09/2010
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| Sujet: Saya Kurojiba Lun 13 Sep - 16:55 | |
| .:: Saya Kurojiba ::. .:: Chapitre 1 - Histoire ::. Il court depuis toujours des histoires étonnantes sur les guildes de l’ombre. A quand remontent-t-elles ? Quelles furent leurs crimes ? Tout part en rumeurs et on ne saurait porter aujourd’hui un choix unique à ces questions. C’est donc une légende parmi tant d’autres que je vais vous narrer ; une fable qui fut marquée d’une réalité véritable, et qui suscite encore le dégoût et la crainte de ceux qui l’ont connu. Une histoire, celle de Saya Kurojiba et de sa guilde Guardian Ryu, qui tint sa source à Xian dans les contrées de l’est ! L’atmosphère particulière de cette région y fut pour beaucoup probablement. Le caractère secret et indépendant de ses membres également. Le gouvernement n’y avait que peu d’influence ! Aussi les gens et la ville étaient pauvres et la manutention laissait à l’abandon. Les routes étaient fais de longs fleuves envasés, et les terrains de plates formes en roseaux. Il était fréquent de voir une artère bouché, les tiges de bambou n’ayant de cesse de pousser et de rendre la traversée de la ville encore plus difficile. Guardian Ryu n’était qu’une petite guilde en ce temps là, mais c’était également le seul trésor de ce hameau. Elle en avait au moins les aspirations ; il ne faut pas chercher plus loin l’origine du nom de : « Dragon Gardien ». En plus de mage, elle officiait en tant que médecin, ouvriers et mains d’œuvres de premières nécessités, et tout ça à grand bénévolat. Là bas les gens s’entraidaient pour survivre ; seules les enfants espéraient encore du vol un avenir. On surnommait d’ailleurs Saya, la nourrice, car il lui prenait d’en tirer parfois un du mauvais chemin, comme se fut le cas ce soir là pour cette jeune fille de huit ans. Cette dernière se prénomme Otome. C’était une enfant audacieuse. Fière aussi, il ne faisait nul doute qu’elle maudissait ses origines et sa misérable situation. Pourtant elle abordait ses journées sereinement, et souriait d’un sourire d’autant plus vrai qu’elle méprisait, cajolant et dupant même les avertis. Ainsi, bourse chapardée, elle ravivait le hameau dans de folles courses poursuites, chavirant et sautant de péniche en péniche, ou renversant les stands pour un peu de sursis. Il était devenu coutume de scander son nom à chaque incident dans le hameau ! On était habitué ; sa bourse on allait la récupérer, ou la rerécupérer chez ses parents, qui s’excusaient, et bénissaient toujours autant notre patience. Ils n’étaient pas modèle de sévérité, mais ils la grondaient ; Otome était simplement une enfant difficile. Ils ne la comprenaient sans doute pas assez aussi. Si ce soir là, Saya la prit sous son aile, c’est parce qu’elle-même fut d’abord sa cible. Dans ses péripéties aux allures de jeu, Otome n’était probablement pas consciente des risques qu’elle prenait ; et c’est peut être aussi la leçon qui lui manquait. Si depuis, la jeune fille aide Saya et l’écoute au grès de ses nombreuses activités bénévoles, ce n’est pas sous une fortuite prise de conscience. À voir l’expression qu’elle affiche, on pourrait même affirmer qu’elle la fait chanter. Et on n’aurait pas tord ; la maître est au moins aussi diabolique que bienveillante, et plus que quiconque sait comment faire tourner la tête de ces jeunes nécessiteux. Saya a le pouvoir de changer les choses en or. La magie d’alchimie est une magie prisée de ces contrées, et celle engendrant de l’or est surveillée par le conseil. Son abus étant illégal, la maître de guilde reste une mage modérée dans sa pratique, au grand damne d’Otome qui veut en voir plus ; et c’est pour le mieux, Saya la taquine d’autant plus. Il ne faudra pas attendre longtemps avant que son désir d’apprendre prenne le pas sur ses désirs de vol. Maintenant maître de la jeune effrontée, le premier pas est fais, et c’est avec son attention que Saya parviendra à faire d’Otome une jeune femme avec son caractère certes, mais d’une honnêteté irréprochable. Xian et sa pauvreté a connu bon nombre de malheur. Le plus récurent, et sans doute le pire, reste la maladie. L’argent fait défaut et les habitants ne peuvent compter que sur la magie curative des mages de la guilde, pas si fréquente, ou sur les médicaments que leurs missions parvenaient à payer. On semblait toujours s’en sortir de peu! Pourtant, la venue du gouvernement en ces terres prouva le contraire. Saya fut accusée de faux-monnayage. La nouvelle ne surprit personne, mais laissa planer le glas ; quiconque aurait présagé l’émeute de ses habitants. Notamment, sans l’aide de la guilde, la ville courait une fin certaine. Saya accepta pourtant de suivre ses hommes, à condition que son corps soit rendu au village si elle venait à décéder. La tension étant palpable, la requête fut acceptée assez vite. Sous les tollés, elle se transforma alors en une magnifique statue d’or, stoppant le désordre qui régnait alors. Seule à pouvoir briser ce sort, elle fut jugée morte, et rendue au village qui la vendit pour soigner l’épidémie. La guilde Guardian Ryu fait maintenant partis des guildes de l’ombre et Saya en retire un portrait bien noirci. On parle d’une mage hautaine qui aurait transformé bon nombre de ses ennemis en statues d’or afin de pouvoir les contempler à jamais tel des trophées. Inspirée par ces rumeurs qui naissent sur de bien faibles bases, et décidée à rétablir son honneur perdu, Otome se résolut à faire revivre Saya Kurojiba au détriment de sa propre identité. Elle se rendit alors au plus juste du royaume de Fiore, prête à ramper aux pieds du conseil tel la Lamie que symbolise sa nouvelle guilde, afin de redorer l’image et l’allégeance de son ancienne préceptrice. .:: Chapitre 2 - Identité ::. | Nom :: Kurojiba Prénom :: Saya Surnom :: L'électron libre Âge :: 21 ans Magie :: Magie des aimants
Guilde :: Lamia Scale
| .:: Chapitre 3 - Magie ::. Pouvoir :: La magie des aimants de type alchimique, un autre genre de conception d’éléments après ceux animés ou de modelages. Sa magie lui permet en effet de créer des métaux ferromagnétiques à partir d’éléments textiles, les octroyant ainsi des propriétés d’attraction ou de répulsion des aimants. Saya utilisera essentiellement des éléments souples tels que des bandeaux, écharpes auxquels elle pourra faire prendre diverses formes qui lui seront autant d’armes. Cette magie pourra également transiter de tissu à acier et vice versa, tant que la première métamorphose s’est faite au contact. Arme(s) :: Plus utilitaire qu’instrument de guerre, Saya possède un large bac à linge fais de paille et d’oseille qu’elle porte dans son dos. On y distinguera deux compartiments : un pour le sale, un pour le propre, car malgré leur rôle d’arme Saya n’en est pas moins consciencieuse. Seules deux vêtement ne la quittent jamais : des gants en tissus peu contondants tant qu’elle ne les a pas transformés en aimants. .:: Chapitre 4 - Portrait ::. Description Morale ::Saya est l’image même de la fierté mis à genoux. Imbriquée, elle ne se laisse plus aller à ses pensées. Chaque réponse a une importance qui lui demande contexte avant d’être prononcée. On lui reprochera alors d’être trop terre à terre, et de ne pas faire assez attention à ses sentiments. Bien souvent, on la verra d’ailleurs se retenir par seule déférence. Manger une glace au cours d’une mission est réprouvé, le retard prohibé, et elle vous tirera par la peau des fesses si nécessaire. De même, si elle est miséricordieuse, elle n’agit que si c’est prouvé nécessaire. N’espérez pas d’aide inespérée sans appel. Ses relations avec les autres sont conflictuelles. Disons qu’elle est habile à trouver ce qui vous fait défaut et est bien trop honnête. Des remarques qu’elle tolère elle-même assez mal. Elle se sent offensée pour un peu et on l’entendra bien souvent plus qu’elle ne semblait le paraître aux premiers regards. On le regrettera d’ailleurs ! Saya a la fâcheuse tendance à donner cours à son auditeur, que ce soit de bonnes manières, de magie, ou de combat, et parfois même d’insultes si le concerné se révèle être un mage sans culture ni verve grammaticale. Description Physique ::- Spoiler:
Saya semblera chétive. Mesurant un mètre soixante quinze pour cinquante six kilos, elle perd en force ce qu’elle gagne en souplesse. A ses formes déjà fines adhère des vêtements encore plus fins, typiques de ses contrées à l’influence chinoise. Sa jupe est fendue sur le côté, et son haut est constitué d’un lot de chemise et de manches largement aérées dans leurs ouvertures. L’ensemble laisse ainsi transparaitre ses épaules, de même que le symbole des guildes qu’elle a fréquenté : Guardian Ryu sur l’épaule gauche, Lamia Scale sur celle de droite. Ses vêtements exotiques sont notamment pratiques, sa corpulence ne pouvant supporté d'épais vêtements fait de métal. Quand le temps est approprié, elle porte également un chapeau chinois sur sa tête. Autrement on le notera recouvrant son bac à linge. Vous pourrez alors nettement voir son visage, aux traits fort et assurés, presque garçon manqué. Son regard est terne et détaché, et montre le peu de considération qu’elle porte aux inconnus. Et ses lèvres sont si fines qu’à défaut de sourire, sa bouche se tiraille en de déplaisant rictus. Une chevelure rebelle pourtour son visage, alors que sa plaisante natte montre pourtant le soin qu’elle peut porter à son apparence. Cette dernière est en effet finement ornementée de plusieurs anneaux et baguettes, à l’image de ses chaussures à talon ou du ruban qu’elle porte à sa cuisse. .:: Test RP ::. - Spoiler:
La guilde Guardian Ryu se trouvait en amont du village de Xian. C’était un milieu rocailleux, au calcaire tanné, et à la végétation envahissante. Un décor assez brut dans lequel s’invitait l’architecture de ces contrées : la guilde et quelques bâtisses isolées au bois auburn vif et aux toits noirs incurvés ; ainsi qu’un pont en arc, aux lignes imbriquées, et troué tel un damier. Ce dernier, on l’apercevait de l’une des balustrades, et il laissait alors couler l’eau en direction du village. On était à la source du fleuve et cette caractéristique donnait un caractère plutôt paisible à l’endroit. Le silence planait d’ailleurs ; il était tôt le matin et l’aube commençait à peine à éclaircir les environs dans ses tons orangés. Dans l’une des chambres se dessinait progressivement Saya ; enfouie dans ses draps, elle semblait somnoler. L’éclaircie enchaîna sur Otome qui se tenait à ses côtés. Cette dernière, assise sur ses talons, semblait attendre que les premiers rayons du soleil ne l'aveuglent.
Otome : - « Maître, dans quelques minutes vous allez m’obliger à être effrontée ! »
Otome jeta un dernier coup d’œil à la masse endormie, puis poussa un long soupir. Elle s’en alla alors puiser de l’eau, pas bien loin les battants menant à l’extérieur, et revint le bras chargé d’un sceau. Saya sentant le coup venir, l’attendait cette fois assise, un sourire épanoui, ses cheveux noirs dépareillés de ce trop plein sommeil. Inclémente, la jeune élève ne se retint pourtant pas de l’inonder.
Otome : - « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Je vais penser à reconsidérer vos enseignements si vous négligez à les suivre ».
Saya fut assez déconfite par ce sermon. La bouche béante et le corps pétrifié par l’eau froide, elle semblait pitoyable à tenter d’égoutter sa robe de nuit par le remuement de ses bras ; et coupable, se lamenta tel un caprice d’un autre âge.
Saya : - « J’ai atteins la trentaine moi, j’suis vieille ! J’ai plus l’âge de m’entraîner dès l’aurore. Et puis je t’ai appris tout ce que je savais ; tu peux te débrouiller toute seule maintenant. Laisse-moi dormir en paix Otome ».
Otome : - « Pitié, cessez vos enfantillages. Vous devenez immature avec l’âge ! Vous êtes bien loin de m’avoir tout appris. Je ne sais toujours pas faire d’or, je vous signale ; tout juste un vulgaire métal »
Retrouvant la pondération qu’on lui connait, Saya répondit à cette remarque assez promptement, comme si elle l’avait programmé, prévu depuis plusieurs années. Otome n’en fut que plus étonnée.
Saya : - « "Apprenez-moi la magie" ; il me semble bien que c’est tout ce que tu m’aies demandé… »
Otome : - « Hein ? »
Saya : - « L’or ne fait pas partie de tes affinités ; et puis ce n’est pas une magie pratique de toute manière »
Otome avait certes pu déclarer son envie de faire de la magie sous ces termes, mais n’en avait certainement pas caché la finalité. Saya connaissait ce fait, et cette pensée flottait telle une certitude dans la tête de la jeune fille. La fourberie de son maître, elle ne l’avait que trop côtoyé, et même si elle ne s’était encore jamais abaissée aussi bas.
Otome : - « Maître… »
Saya : - « Oui ? »
Otome : - « Vous êtes une escroc. La plus manipulatrice des femmes que je connaisse »
Saya : - « Dans le village, on m’aime bien »
Otome : - « C’est bien ce que je dis »
Sur ces mots Otome mit fin à la discussion et se retira à l’extérieur. Elle s’arrêta à la balustrade et s’y accoudant, se vida l’esprit en lorgnant les pêcheurs qui venaient de s’installer sur la rive. Ces derniers levèrent la main en guise de salut et elle le leur rendit, le vent frais du matin teintant alors son visage d’un air de mélancolie. Saya vint la rejoindre après s’être habillée sans doute dans l’idée de la réconforter. L’élève ne fut toutefois pas prompt à relancer la conversation, et malgré les entrecoupes tint silence à ses réponses.
Saya : - « Tu ne sembles plus si pressée de faire ton entrainement… Je suppose que t’enlever ton objectif n’était pas la meilleure chose à faire ; mais la magie d’or est une épée de Damoclès, tu sais… Tu es limité dans son utilisation et le gouvernement te surveille… Tu dois vivre éloigné de tout, sinon les guildes noires te recherchent… C’est une magie que tu "dois" défendre, alors que c’est son rôle que de te protéger »
Mirant le visage de son apprenti, la maître espère sans doute y déceler une de ces introspections dont elle a l’habitude ; mais à son regard renfrogné dû bien se rendre à l’évidence, si introspection y avait, elle s’éloignait plus de ses intérêts que s’en approchait. Saya soupira profondément son amertume.
Saya : - « J’ai compris ; suis-moi ! Je vais te présenter à quelqu’un. Mais garde à l’esprit que c’est à contrecœur »
Cette réponse étonna Otome qui ne put s’empêcher de considérer à nouveau la ruse dans ces agissements. Toutefois, au cas où, et de peur qu’elle ne change d’avis, elle emboîta le pas assez vite sans poser davantage de questions. Ils prirent alors la route menant au village de Xian d’un pas assez empressé, Saya commençant même à courir, alors qu’ils descendaient la pente raide et graveleuse. Se demandant le pourquoi d’un tel empressement, alors qu’ils s’en allaient sur un coup de tête, Otome finit par poser les questions qui lui trottaient dans la tête.
Otome : - « Puf, puf… pourquoi… puf, puf… courre-t-on ? Puf, puf »
Saya : - « Parce que, j’y pense, il voudra sans doute connaître ton endurance »
Otome : - « Mais chez qui… puf… mais chez qui on va ? »
Saya : - « Chez une vieille connaissance. Une personne que je déteste au moins autant que je l’apprécie. Il nous arrive encore de boire le thé ensemble »
Comprenant qu’elle n’en apprendrait pas plus pour l’instant, et surtout incommodée par le rythme, Otome prit le parti d’attendre d’y être pour se faire enfin sa propre idée. Ils arrivèrent alors dans la zone douteuse de Xian, celle des ivrognes et autres malpropres, généralement trop sale pour oser y mettre les pieds ; et s’arrêtèrent devant une bicoque dont l’intérieur tronquait avec le lieu. Il était décent, bien que modestement équipé de tatamis au sol et d’une table basse sur laquelle infusée du thé. Le plus étrange était encore qu’il n’y avait pas de porte, comme si le propriétaire nous invitait à entrer ; ce que fit Saya, et Otome qui lui emboitait le pas. La voix d’un homme les apostropha.
Homme : - « Quel est l’effronté qui s’incruste encore chez moi ? »
Saya : - « Ravie de te voir aussi Han », exprima amicalement Saya.
Han : - « Saya ! Tu es bien matinale ; toi tu as senti le thé délicat de ton dévoué Han »
Han était un jeune homme d’une vingtaine d’année, au flegme certain. Il portait pour seule tenue, un kimono vert où se dépeignaient des fleurs orangées, les mêmes que l’on retrouvait alors tatouées sur son avant bras droit. Aussi mal tenu que lui, un sabre, au fourreau verni, pendouillait avec ressort dans son dos, si bien qu’Otome avait du mal à se faire une idée convenable de son propriétaire. Notamment, Han n’avait pas remarqué sa présence, ce qui n’était pas pour lui plaire. Il fallut attendre que Saya vienne à la présenter.
Saya : - « Je ne suis pas venue pour ça cette fois, je suis là pour Otome »
Han marqua alors enfin sa surprise. Se rapprochant de la jeune fille, il en fit le tour, la scrutant des pieds à la tête, et arrivait au visage lui releva le menton afin que leur regard se croise. Elle s'en offusqua, mais ne dit mot, ses sourcils froncés en disant déjà assez long sur ce qu'elle pensait.
Han : - « C’est donc elle Otome ; je pensais que tu exagérais quand tu me la présentais lamentable. Elle est même pitoyable », railla-t-il d’un sourire.
Otome fut évidemment choquée par ces paroles. Notamment, comment son maître avait-elle pu avoir un tel propos à son sujet ? Elle avait le regard remonté à son encontre ; et cette dernière, compréhensive, s’expliqua presque par sa seule expression.
Saya : - « Ne prends pas pour argent comptant tout ce que te dit Han. Il tend à remodeler les phrases de façon à ce qu'elles l’arrangent »
Han : - « Comme le disait Maître Chao, croit ceux qui cherchent la vérité, doute de ceux qui la trouvent », crût bon de moraliser Han, bien qu’instigateur de cette aigreur.
Saya : - « Tu me disais immature ce matin ; mais avec lui, tu n’as encore rien vu. Il sera pourtant ton maître ; il te faudra t’y habituer »
Otome : - « Pourquoi ? J’étais satisfaite avec vous. Et je doute que ce mollusque est même une once de magie »
Han : - « Elle a du flair cette petite », soutint le concerné.
Saya : - « Han n’est pas un mage. Mais dans les combats, c’est lui l’expert. Il te préparera et t’enseignera les arts propices à ta magie ; je le laisse juge de ces derniers. En tout cas je ne t’enseignerais pas mon pouvoir sans son approbation ; pas avant que tu ne sois habile à le défendre »
.:: Entre nous ::. Comment avez-vous connu le forum ? :: Via google Un commentaire à faire ? :: Euh... hum huum huuuum... * réflexion intense * Depuis combien de temps faite-vous du RP ? :: Trop d'années pour m'amuser encore à les compter. Votre âge :: 25 ans Vos rêves :: si, si ça nous intéresse ! Peut être mais c'est personnel ^^ .:: Chapitre 4 - Règlement de compte ::. Code :: La tartiflette nous on aime !
Dernière édition par Saya Kurojiba le Sam 18 Sep - 21:09, édité 17 fois | |
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